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Algérie: l’État durcit les peines contre les violences armées

  • cfda47
  • 4 mai
  • 1 min de lecture

Des images choquantes captées par des caméras de surveillance ont récemment mis en lumière une recrudescence inquiétante des violences dans les quartiers urbains algériens.


Des individus armés d’armes blanches de différentes tailles ont été filmés en train d’agresser des citoyens sans défense, dans ce qui semble être une tentative d’imposer leur loi par la force.


Ces agressions, qui ciblent aussi bien l’intégrité physique que les biens des victimes, ont souvent abouti à des blessures graves, voire à des handicaps permanents. Une montée alarmante de la criminalité que les autorités algériennes prennent très au sérieux.


Le législateur algérien a ainsi réagi en renforçant considérablement le cadre juridique. Des peines allant jusqu’à 20 ans de prison ont été instaurées pour toute personne reconnue coupable d’appartenance à des bandes de quartier, ou de participation à des actes de violence planifiés impliquant des armes blanches, notamment lorsqu’ils causent des infirmités permanentes.


Ces bandes organisées, qui sèment la terreur et compromettent la quiétude des quartiers, représentent une menace réelle pour la cohésion sociale. Face à cette situation, l’État ne reste pas inactif, des réformes du code pénal et du code de procédure pénale sont régulièrement mises en œuvre pour adapter la législation aux nouvelles formes de délinquance.


Sur le terrain, les forces de sécurité multiplient les opérations de contrôle et les descentes dans les zones sensibles. Parallèlement, la justice recourt de plus en plus aux procédures de comparution immédiate ou de convocation directe, en fonction de la gravité des faits reprochés.



Yacine M


 
 
 

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