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Fertilité en Algérie: un nouveau partenariat pour faciliter l'accès aux traitements

  • cfda47
  • 27 mai
  • 2 min de lecture

La Banque Al Salam Algérie s'engage désormais dans le secteur de la santé reproductive. L'institution financière a officialisé un partenariat avec la Clinique VAL, spécialisée dans la fertilité et la procréation médicalement assistée.


Cette alliance se concrétise autour du produit “Amel”, un compte d'investissement spécifiquement conçu pour le financement des traitements de fertilité. Le dispositif permet aux couples algériens d'accéder à des solutions financières respectueuses de la charia pour couvrir l'intégralité de leur parcours médical.


L'accord couvre toutes les étapes du processus, depuis les examens diagnostiques initiaux jusqu'aux traitements spécialisés les plus avancés dispensés au sein de la Clinique VAL. Cette approche globale vise à éliminer les barrières financières qui empêchent souvent les couples de poursuivre leurs soins.


Des garanties de confidentialité et d'accompagnement

L'accord met par ailleurs l'accent sur plusieurs aspects fondamentaux pour les bénéficiaires. La confidentialité des données médicales et financières constitue une priorité absolue, tandis que l'accès simplifié au financement permet de réduire les démarches administratives.


Un accompagnement personnalisé des couples tout au long de leur parcours médical complète ce dispositif. Cette approche humaine reconnaît la dimension émotionnelle et psychologique des traitements de fertilité.


Il faut rappeler que l'État algérien mène actuellement une politique d'amélioration de l'accès aux soins spécialisés et de soutien à la natalité. L'initiative privée de la Banque Al Salam Algérie contribue à cet effort national en proposant des solutions concrètes aux couples confrontés à des difficultés de conception.


L'approche éthique du financement, conforme aux convictions religieuses de la majorité de la population, représente un atout supplémentaire de cette collaboration. Elle permet aux familles algériennes de poursuivre leurs traitements sans compromettre leurs valeurs spirituelles.


L'impact de ce partenariat se mesure donc au-delà des seuls aspects financiers. Il participe à une démarche plus large de démocratisation de l'accès aux soins de fertilité, répondant ainsi à une attente sociale forte dans le pays. 


Amine B.


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