Boycott, Désinvestissement, Sanctions (BDS) : ces trois mots résonnent désormais comme un écho puissant dans le monde entier.
Avec un milliard et demi de musulmans répartis sur la planète, cette campagne, née en réaction à la guerre dans la bande de Gaza, a inévitablement touché les marques et les labels des plus grandes entreprises qui soutiennent Israël.
Cependant, ce qui surprend, c’est que cette campagne a réussi à ébranler le géant du fast-food McDonald’s, jusque dans son propre bastion en Israël.
La chaîne de restauration rapide possède 225 restaurants franchisés dans le pays, gérés par le groupe Alonyal. Boycott, Désinvestissement, Sanctions (BDS) : ces trois mots résonnent comme un écho puissant dans le monde entier.
Avec un milliard et demi de musulmans répartis sur la planète, cette campagne, née en réaction à la guerre dans la bande de Gaza, a inévitablement touché les marques et les labels des plus grandes entreprises qui soutiennent Israël.
Cependant, ce qui surprend, c’est que cette campagne a réussi à ébranler le géant du fast-food McDonald’s, jusque dans son propre bastion en Israël.
La chaîne de restauration rapide possède 225 restaurants franchisés dans le pays, gérés par le groupe Alonyal. Ce dernier est sous le feu des critiques de certains clients pour avoir offert des milliers de repas gratuits à l’armée israélienne pendant le conflit à Gaza.
Face à la menace d’une faillite imminente, McDonald’s a pris une décision audacieuse : racheter le groupe israélien Alonyal. Cette mesure vise à maintenir les 225 restaurants ouverts et à préserver les 5000 emplois qui en dépendent.
Cependant, les conséquences financières ont été immédiates. Quelques heures après l’annonce du directeur financier, Ian Borden, selon laquelle le boycott dans la région arabe et le monde islamique continuera d’affecter les ventes de McDonald’s cette année, la valeur de l’entreprise a chuté d’environ 7 milliards de dollars.
Cette saga illustre la puissance des mouvements citoyens et leur capacité à influencer les décisions économiques à l’échelle mondiale.
Pour McDonald’s, l’équilibre entre les impératifs commerciaux et les valeurs sociales est plus délicat que jamais.
Ce dernier est sous le feu des critiques de certains clients pour avoir offert des milliers de repas gratuits à l’armée israélienne pendant le conflit à Gaza.
Face à la menace d’une faillite imminente, McDonald’s a pris une décision audacieuse : racheter le groupe israélien Alonyal. Cette mesure vise à maintenir les 225 restaurants ouverts et à préserver les 5000 emplois qui en dépendent.
Cependant, les conséquences financières ont été immédiates. Quelques heures après l’annonce du directeur financier, Ian Borden, selon laquelle le boycott dans la région arabe et le monde islamique continuera d’affecter les ventes de McDonald’s cette année, la valeur de l’entreprise a chuté d’environ 7 milliards de dollars.
Cette saga illustre la puissance des mouvements citoyens et leur capacité à influencer les décisions économiques à l’échelle mondiale.
Pour McDonald’s, l’équilibre entre les impératifs commerciaux et les valeurs sociales est plus délicat que jamais.
G.B